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A chest physician's guide to mechanisms of sinonasal disease.

The upper and lower airways are closely linked from an anatomical, histological and immunological point of view, with inflammation in one part of the airways influencing the other part. Despite the concept of global airway disease, the upper airways tend to be overlooked by respiratory physicians.

We provide a clinical overview of the most important and recent insights in rhinitis and rhinosinusitis in relation to lower airway disease. We focus on the various exogenous and endogenous factors that play a role in the development and aggravation of chronic upper airway inflammation. In addition to the classical inhaled allergens or microorganisms with well-defined pathophysiological mechanisms in upper airway disease, environmental substances such as cigarette smoke, diesel exhaust particles and occupational agents affecting lower airway homeostasis have recently gained attention in upper airway research. We are only at the beginning of understanding the complex interplay between exogenous and endogenous factors like genetic, immunological and hormonal influences on chronic upper airway inflammation.

From a clinical perspective, the involvement of upper and lower airway disease in one patient can only be fully appreciated by doctors capable of understanding the interplay between upper and lower airway inflammation.

Impact of chronic obstructive pulmonary diseases on left ventricular diastolic function in hospitalized elderly patients.

OBJECTIVE: To evaluate the impact of chronic obstructive pulmonary disease (COPD) on left ventricular (LV) diastolic function in hospitalized elderly patients.
METHODS: This was a case-control observational study of 148 consecutive hospitalized elderly patients (≥65 years old): 73 subjects without COPD as controls and 75 patients with COPD. Mild-to-moderate COPD was defined as stages 1 and 2, while severe and very severe COPD was defined as stages 3 and 4, according to the Global Initiative for Chronic Obstructive Lung Disease guidelines. Clinical characteristics and echocardiographic parameters were analyzed and compared.

RESULTS: Compared with the control group, patients with COPD had a higher frequency of LV diastolic dysfunction and heart failure with preserved ejection fraction. Smoking frequency, frequency of cerebrovascular diseases and diabetes, and serum N-terminal pro-B-type natriuretic peptide (NT-proBNP) levels were higher in the COPD group (all P<0.05). COPD patients showed more abnormalities in diastolic function (E/e': 11.51±2.50 vs 10.42±3.25, P=0.047), but no differences in systolic function and right ventricular function (all P>0.05). Patients with severe/very severe COPD showed no differences in LV diastolic function compared to patients with mild/moderate COPD (P>0.05), but serum NT-proBNP levels were higher in severe/very severe COPD (P<0.05).

CONCLUSION: Results suggest that early-stage COPD may have an impact on the LV diastolic function. Severe COPD mainly affected right ventricular function. In hospitalized elderly patients with COPD, LV diastolic dysfunction should be taken into account together with right ventricular function.

Caractérisation clinique et fonctionnelle de la bronchopneumopathie chronique obstructive professionnelle

Publication date: January 2015 Source:Revue des Maladies Respiratoires, Volume 32, Supplement

Author(s): M. Grandperrin , S. Jouneau , P. Andujar , T. Gouyet , A. Guillien , L. Mala , M. Veil-Picard , V. Paulus , I. Annesi-Maesano , N. Roche , L. Boyer , M. Botebol , J.J. Laplante , B. Degano , J.C. Dalphin

Contexte Si 15 à 20 % des BPCO sont d’origine professionnelle, leurs présentations cliniques et fonctionnelles restent à déterminer par rapport à la BPCO tabagique. Objectif Le but de l’étude était de comparer les caractéristiques cliniques et fonctionnelles de trois groupes de BPCO : « agricole » (BA), « minérale » (BM), et tabagique (BT) puis de déterminer l’influence du groupe d’exposition (A ou M) sur les paramètres étudiés. Méthodes Les patients ont été recrutés à partir de trois centres : Besançon, Rennes, Créteil. Les participants ont bénéficié d’une exploration fonctionnelle respiratoire et d’un test de marche de 6minutes. La comparaison des paramètres fonctionnels entre les groupes d’exposition professionnelle, a fait l’objet d’une analyse bi variée puis multivariée par régression linéaire multiple (logiciel SAS), ajustée sur le VEMS et le tabagisme. Résultats Au total, 159 sujets ont été inclus : 76 BA, 17 BM et 66 BT. Le KCO ( % préd) était à 96±20, 86±36 et 80±20 chez les BA, BM et BT, respectivement (p =0,0003). La distension thoracique, évaluée par le VR, était la plus élevée chez les BM (VR : 122±33, 162±44, 124±41, chez les BA, BM, BT respectivement ; p =0,0011). Les BM avaient les moins bonnes performances à l’exercice. La diffusion du CO était principalement expliquée par le groupe d’exposition. Conclusion Il existe des phénotypes différents au sein des BPCO professionnelles. La BPCO « minérale » semble être une maladie plus distale et pourvoyeuse d’emphysème, alors que la BPCO agricole semble être une maladie localisée aux voies aériennes.





Dégression de la corticothérapie inhalée chez les enfants asthmatiques

Publication date: January 2015 Source:Revue des Maladies Respiratoires, Volume 32, Supplement

Author(s): S. Hafaied , A. Berraies , B. Hamdi , H. Cherif , J. Ammar , A. Hamzaoui

Introduction La corticothérapie inhalée constitue une pierre angulaire du traitement de l’asthme. Toutefois elle n’est pas dénuée d’effets secondaires surtout chez les enfants. Patients et méthodes Étude rétrospective portant sur 50 enfants asthmatiques suivis dans un service de pneumopédiatrie à l’Ariana. Le traitement est généralement démarré à la dose de 400 à 500μg/j. Nous avons analysé les caractéristiques et l’évolution des patients chez qui une dégression du traitement inhalé a été tentée. Résultats Il s’agissait de 50 enfants avec un sex-ratio à 1,5 et un âge moyen de 8ans. L’asthme était persistant léger chez 79 % des enfants et modéré chez 21 %. L’asthme était allergique dans 52 % des cas et bien contrôlé dans 92 % des cas. La dose de corticoïdes inhalés (CSI) était en moyenne de 435μg/j. La dégression à moitié dose de CSI a été tentée dès le printemps chez 35 malades et en été chez 15 autres. La dégression était transitoire chez 17 enfants aux antécédents d’exacerbations hivernales sévères. Un échec de la dégression a été rapporté dans 22 % des cas (n =11) devant la survenue d’exacerbation. La dégression a été maintenue chez 22 enfants (44 %). Dans le groupe d’enfants où la dégression a échoué, l’asthme était plus souvent allergique (70,4 % vs 29,6 %, p =0,045). De même, les enfants présentant plus de 3 infections respiratoires basses/an étaient plus nombreux dans ce même groupe (53,6 % vs 22,7 %, p =0,026). Conclusion Des doses faibles ou modérées sont aussi efficaces que des doses élevées de CSI chez certains enfants. L’asthme allergique et les infections respiratoires basses récidivantes sont les facteurs prédictifs d’échec de la dégression des CSI.





La HE4 : un nouveau marqueur sérique du cancer non à petites cellules des bronches

Publication date: January 2015 Source:Revue des Maladies Respiratoires, Volume 32, Supplement

Author(s): J.L. Pujol , C. Plassot , P.J. Lamy

Introduction La HE4 (Epidiymis humain protéine sécrétoire 4) est une protéine glycosylée sécrétée dans le sérum et codée par le gène WFDC2 (fréquemment amplifié dans de nombreux cancers). Cette étude visait à déterminer la valeur pronostique de HE4 selon les recommandations de REMARK dans le cancer du poumon non à petites cellules (CBNPC). Méthodes Les sera de 346 patients consécutifs atteints de CBNPC prouvés histologiquement et naïfs de traitement, et 41 patients atteints de maladies pulmonaires bénignes ont été prospectivement récoltées. L’évaluation des caractéristiques de la maladie et les algorithmes de traitements étaient en harmonie avec les normes internationales. Les taux sériques de HE4 ont été évalués par test Elisa (Fujirebio diagnostic) composé de deux anticorps monoclonaux, 2H5 et 3D8, reconnaissant le domaine C-WFDC. Résultats L’aire sous la courbe ROC était de 0,78 (IC à 95 %, 0,738 à 0,821 ; test z p &lt;0,0001). Les taux sériques de HE4 différaient significativement selon l’indice de performance, le stade TNM et le statut ganglionnaire de telle sorte qu’aux caractéristiques cliniques péjoratives correspondaient les plus hauts taux de HE4. Dans le modèle de Cox, les patients avec un taux pré thérapeutique de HE4 sérique&gt;140pmol/L avaient une survie globale plus courte en comparaison avec les patients ayant un niveau de marqueur140pmol/L : médiane de survie globale en semaines 17,7 (IC 95 %, de 11,9 à 24,9) et 46,4 (IC 95 %, de 38,6 à 56,3), HR pour un taux de HE4 élevé : 1,48 (IC 95 %, 1,12 à 1,95) ; p ajusté=0,0057. Conclusion Un taux de HE4 sérique élevée au moment du diagnostic est un facteur indépendant de pronostic défavorable pour les CBNPC.





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