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Non-Communicable Diseases And Adherence To Mediterranean Diet.

Authors: Antonio C, Valeria L Abstract Non-communicable diseases (NCDs) also known as chronic diseases last for a long time and progress generally slow. Major non-communicable diseases are cardiovascular diseases, cancers, chronic respiratory diseases and diabetes. Wrong healthy lifestyles and food behaviours play an important role for determining such diseases. The changing of unhealthy behaviours or the maintenance of healthy lifestyles have an enormous value not only for individuals, with the reduction of diseases and longer life expectancy, but also for the entire community. Recent meta-analyses reported Mediterranean diet to be an optimal diet in its whole and not only for its single components, in order to preserve and maintain a good health status. A greater adherence score ...

Effect of prone positioning in mild to moderate obstructive sleep apnea syndrome

Conclusions To our knowledge, this is the first study to examine the effect of prone positioning in the treatment of mild to moderate OSA. Application of PPP with a more comfortable design in a randomized clinical trial is required to investigate its long term effect in the treatment of mild to moderate OSA. (Source: Sleep and Breathing)

Développement d’un arbre décisionnel simple pour identifier les phénotypes de BPCO en pratique clinique

Introduction Les analyses en clusters permettent l’identification de phénotypes de patients BPCO mais leur complexité les rend inutilisables en pratique clinique quotidienne.

Objectif Développer un algorithme utilisable en pratique clinique pour classer les patients dans les phénotypes.

Méthodes Au total, 2409 patients atteints de BPCO ont été classés à l’aide d’une analyse en cluster pour données mixtes en utilisant l’âge, l’indice de masse corporelle, le VEMS ( %), la dyspnée (échelle mMRC), le nombre annuel d’exacerbations, et la présence de comorbidités cardiovasculaires et/ou de diabète. Les phénotypes ont été validés par une analyse de la mortalité globale à 3ans et un arbre décisionnel simple permettant de classer les patients dans les phénotypes a été construit par une analyse de type CART (Classification And Regression Trees).

Résultats Cinq phénotypes ont été identifiés par l’analyse en cluster et validés du fait de différences majeures dans la survie à 3ans et l’âge de décès. L’analyse CART sur un échantillon aléatoire représentant 66,7 % de la cohorte a permis la construction d’un arbre décisionnel comprenant les comorbidités, le VEMS, l’échelle mMRC et l’âge (mais pas les exacerbations). Sur l’échantillon de validation (33,3 % de la cohorte), environ 80 % des patients étaient classés correctement par cet arbre décisionnel.

Conclusion Cet arbre décisionnel, qui devra faire l’objet d’une validation dans des cohortes indépendantes, pourrait représenter une première étape vers une nouvelle classification de la BPCO.

Dégression de la corticothérapie inhalée chez les enfants asthmatiques

Introduction La corticothérapie inhalée constitue une pierre angulaire du traitement de l’asthme. Toutefois elle n’est pas dénuée d’effets secondaires surtout chez les enfants.

Patients et méthodes Étude rétrospective portant sur 50 enfants asthmatiques suivis dans un service de pneumopédiatrie à l’Ariana. Le traitement est généralement démarré à la dose de 400 à 500μg/j. Nous avons analysé les caractéristiques et l’évolution des patients chez qui une dégression du traitement inhalé a été tentée.

Résultats Il s’agissait de 50 enfants avec un sex-ratio à 1,5 et un âge moyen de 8ans. L’asthme était persistant léger chez 79 % des enfants et modéré chez 21 %. L’asthme était allergique dans 52 % des cas et bien contrôlé dans 92 % des cas. La dose de corticoïdes inhalés (CSI) était en moyenne de 435μg/j. La dégression à moitié dose de CSI a été tentée dès le printemps chez 35 malades et en été chez 15 autres. La dégression était transitoire chez 17 enfants aux antécédents d’exacerbations hivernales sévères. Un échec de la dégression a été rapporté dans 22 % des cas (n =11) devant la survenue d’exacerbation. La dégression a été maintenue chez 22 enfants (44 %). Dans le groupe d’enfants où la dégression a échoué, l’asthme était plus souvent allergique (70,4 % vs 29,6 %, p =0,045). De même, les enfants présentant plus de 3 infections respiratoires basses/an étaient plus nombreux dans ce même groupe (53,6 % vs 22,7 %, p =0,026).

Conclusion Des doses faibles ou modérées sont aussi efficaces que des doses élevées de CSI chez certains enfants. L’asthme allergique et les infections respiratoires basses récidivantes sont les facteurs prédictifs d’échec de la dégression des CSI.

Évaluation qualitative d’une procédure de détection de la BPCO par spirométrie avec test de réversibilité

La prise en charge diagnostique de la BPCO reste imparfaite. Le recours à un pneumologue devant toute suspicion de BPCO reste difficile. Une spirométrie de détection a été réalisée chez des sujets sélectionnés âgés de 40 à 75ans par des médecins généralistes et des médecins du travail dûment formés. Du salbutamol (4 bouffées de 100 mcg) a été administré en cas de trouble ventilatoire obstructif (TVO).

Des sujets avec TVO non réversible et des sujets appariés avec spirométrie normale ont eu une spirométrie de confirmation chez un pneumologue. La concordance de plusieurs valeurs (VEMS, CVF, DEP et DEM25-75) entre les deux spirométries a été évaluée par la méthode de Bland et Altman. La validité de la spirométrie de détection pour le diagnostic de BPCO a été étudiée.

Entre novembre 2011 et juin 2014, 3442 sujets ont bénéficié d’une spirométrie de détection. Parmi eux, 263 ont bénéficié d’une spirométrie de confirmation, dont 139 porteurs d’un TVO non réversible lors de la détection. La concordance de toutes les variables testées était excellente. Toutefois, les valeurs du DEP étaient plus basses et les valeurs du DEM25-75 plus élevées (différences moyennes : 0,4±0,5L/s et 0,3±0,4L/s, respectivement) lors de la spirométrie de détection. La sensibilité (Se) et la spécificité (Sp) de la spirométrie de détection pour le diagnostic de BPCO étaient de 97 et 95 %, respectivement.

La spirométrie avec test de réversibilité réalisée par des médecins non pneumologues dûment formés permet la détection de la BPCO avec une Se et une Sp excellentes. Toutefois, les différences de DEP et de DEM25-75 observées suggèrent une expiration moins « forcée » lors de la détection.

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